FAQ

Actuellement, on dénombre plus d’une quinzaine d’aides énergétiques nationales (auquel s’ajoutent les potentielles aides des collectivités territoriales).

Oui, à partir du moment ou vous répondez aux conditions de chaque aide, vous pouvez parfaitement les cumuler pour entreprendre vos travaux de rénovation !

Plus de 2/3 des logements ont été construits avant 1974 alors qu’il n’existait aucune norme d’isolation thermique.

Ainsi, ces logements sont victimes d’une déperdition de chaleur beaucoup plus importantes.

Isoler votre logement vous permettra alors d’optimiser la conservation de chaleur, améliorer votre confort, d’économiser 25% à 30% en moyenne sur vos facture d’énergie et valoriser votre patrimoine.

La toiture constitue l’élément critique de l’équilibre thermique d’un logement, celle-ci étant responsable de 30% de déperdition en moyenne selon l’ADEME.

En effet, l’air chaud ayant une densité plus faible que l’air froid, tend à s’élever, quitter les pièces à vivre pour se loger sous la toiture.

Le choix de l’isolant dépendra de plusieurs facteurs :

– Le type d’isolation qu’on souhaite privilégier : isolation thermique ou isolation phonique
– Ses paramètres d’isolation thermique : sa conductivité, sa résistance et sa transmission
– Sa teneur en composés organiques volatils : ses composés présentant des caractéristiques toxiques on choisira l’isolant ayant le niveau d’émission le plus faible.
– Son impact environnemental
– Les certifications de conformité : plusieurs organismes indépendants ont délivré différentes certifications : ACERMI, Keymark, Marquage CE.

In fine, les isolants répondant au mieux à ces critères sont : les laines minérales, fibres de bois, ouate de cellulose, le liège expansé, le chanvre et polystyrène.

Plusieurs paramètres devront être réunis :

– Une ventilation fonctionnelle : celle-ci permettra d’éviter la propagation de l’humidité au sein du logement

– L’imperméabilité des parois : l’humidité étant transmis à travers les parois de l’intérieur vers l’extérieur, les vapeurs d’eau sont responsables de la dégradation des murs et des plafonds. L’imperméabilité assurera d’éviter ces transferts d’humidité ainsi que la dégradation des parois (moisissures, décollements…)

Supprimer les ponts thermiques : les ponts thermiques représentent des zones dans l’habitation ou la résistance thermique est beaucoup plus faible (jonction des murs, nez de plancher, intersection de cloison…)

Les pompes à chaleur présentent de nombreux avantages par rapport aux autres systèmes traditionnels de chauffage :

35% à 65% d’économies réaliséss selon le modèle choisi
haute performance énergétique : 2,5 à 7 kWh de chaleur pour 1 kWh d’électricité consommé
facilité d’utilisation
coûts d’entretiens faible : 150 à 250 € par an

Il existe trois grandes catégorie de pompes à chaleur :

aérothermique (air-air ou air-eau) 
hydrothermique (eau-eau)
géothermique (sol-eau).

Oui. Dans ce cas, la pompe à chaleur inverse simplement son processus de fonctionnement.